Deux opposés qui se cherchent, se trouve et s'envoient balader. L'un me ronge tandis que l'autre m'emprisonne. Je m'évade parfois. Je nage entre deux eaux, je flotte dans une atmosphère dégoulinante de joie absurde. Sans volonté, ni motivation, on se retrouve la tête dans le puit a ne voir que du noir, écoeurant; et au fond, tréfond, on n'enttend plus son coeur battre, on se meurt d'avoir trop de bonheur. Ni une, ni deux, ni personne. C'est alors que la conscience s'éveille, transformant le noir en blanc, éblouissant. Celui la même qui me prive de la vue, celui qui fait de ma périphérie un environnement flou, où les repères sont un passé.
H0RL0GE
Como micos en el polo norte.
Mardi 9 février 2010 à 9:25
N.B
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